« Le parc locatif privé compte près de 6,5 millions de logements, dont 3,1 millions sont considérés comme des passoires thermiques (classes F et G). Il est estimé que ce parc résidentiel privé énergivore accueille 1,7 million de ménages très modestes (4 premiers déciles de revenus) qui doivent ainsi faire face à un couple « loyer + charges » important.

	Nombreux sont les acteurs qui font le constat d'un besoin d'accompagnement des particuliers dans leur parcours de renovation.

	Qui sont les ménages qui font des travaux, et pourquoi ?

En 2018 une collecte des prix des gestes de rénovations via le réseau des conseillers FAIRE (EIE et PTRE) a été réalisée.

Cofinancée par la DHUP et l’AQC, cette étude met en exergue les principaux points de vigilance de la construction et de la réhabilitation en terre crue.

Cette charte, disponible en français, espagnol, portugais et anglais, explicite les critères d’une opération de réhabilitation dite « responsable ».

Le développement d'une offre privée ou publique de rénovation performante des logements individuels est nécessaire pour limiter les consommations d'énergie primaire de l'ensemble du parc au niveau BBC à l'horizon 2050. Il s'agit d'accompagner le ménage à tous les stades d'un chantier de rénovation